[Humain] Tristan Gwared

Tapant facilement dans les 1m85, on peux dire que je suis assez grand. Personnellement je dirais juste que j'ai la taille idéale, mon père mesurait plus, et j'ai été largement marqué par les injures qu'il proliférait lorsqu'il se fracassait le crâne sur le haut des portes. Évidemment comme tout adulte qui se doit, je vais me garder de donner mon poids, mais quoi qu'il en soit j'ai une stature d'homme mince, bien qu'il n'est pas possible d'ignorer le fait que le sport à testé ses bien faits sur moi.
Comme cité plus haut, j'estime pas être trop moche, bien que ma touffe imposante de cheveux, qui prends un malin plaisir à cacher mes yeux aux iris sombres, me mène la vie dur. J'ai les cheveux qui mèchent facilement, la technique veux que je les néglige pratiquement autant que mon rasage et puis je les lave au moment où ils se l'attendent le moins, histoire de pas paraître trop négligé quand même. Niveau vestimentaire, j'ai fort été marqué par mon adolescence, et pour bien me prouver que cette période est réfutée et ne laisser aucun doute sur cela aux gens qui m'observent, je m’habille uniquement en costard-cravate, en plus ça permet de pas trop se creuser la tête, à part sur la cravate, mais vous vous doutez bien que je n'y prête aucune attention particulière.
Je pense que j'ai à peu près tout dit, je vous invite à me suivre dans la section suivante, ça va être encore plus intéressant.

Je sais, ma beauté vous as subjugué à un tel point que intéressez à ce qui se passe dans ma caboche. Ne rougissez pas, ça ne me dérange pas.
Pour ne pas allez trop dans les détails, je suis quelqu'un de relativement sociable. Tout de fois, j'ai la réputation d'être assez méchant avec les gens que je rencontre pour la première fois, je dirais pour ma part que je suis "assez froids" mais personne ne me rejoins sur se point. C'est aussi pour ça que les gens s'imaginent que je suis quelqu'un de pas très gentil, mais bon quelqu'un qui se permet de me juger alors qu'il m'a vu qu'une fois mérite cette méchanceté, je m'égare ...
Je suis quelqu'un d’extrêmement serviable, jamais je refuserais d'aider quelqu'un, pas plus que je n'aiderais pas quelqu'un dans le besoins, j'estime que c'est le devoir de tout un chacun de le faire. Sauf que, moi, je met un point d’honneur à le faire moi même, allez comprendre pourquoi. Je reste sur le fait que ça me rends heureux d'aider les autres, voir cette petite étincelle, celle de la reconnaissance des les yeux des gens, c'est quelque chose de mémorable, et de sincèrement touchant.
J'aime particulièrement être entouré de gens, je ne supporte que peu la solitude, c'est pour ça que j'ai reçu très tôt mon premier Pokémon, cela devait être aux alentours de mes 7 ans, si j'ai bonne mémoire.
Je suis impatient aussi ! J'aime pas du tout attendre, encore moins laisser le temps au temps, cette expression est paradoxale d'ailleurs, si le temps se laisse le temps, on est tous mal partis, parce qu'il peux se laisser le temps qu'il veux vu que c'est lui même. Ah oui, j'aime bien les débat, réfléchir, me prendre la tête tout ça. Je suis certain que vous ne vous en seriez jamais douté !
J'espère que vous avez apprécié ce moment avec moi, et que nous nous rencontrions sous peu.

Tout d’abord, on prit mes bagages, on me dirigea à l'intérieur du monstre métallique, et on me demanda de m’asseoir, tout en me faisant remarquer que j'avais de la chance, j'étais à côté de la fenêtre, j'aurais une vue imprenable de toute le voyage, je m'appliqua à ne pas soupirer, puis je m'assis, docilement. J'étais fatigué, le stresse pré-voyage m'avait relativement stressé enfaîte, c'était amusant de se retrouver là.
C'était une vielle femme, je ne saurai même plus vous donner son prénom, allait se faire piquer son Pokémon, un Roserade si mes souvenirs sont bon. Elle devait rentrer seul, et lors d'un combat contre un Pokémon sauvage un homme habillé en noir avait sauté sur son Pokémon et avait tenté de l'emporter, faut dire, le vacarme que ça avait fait avait alerté tout le monde, ni une ni deux, Peru (mon Balignon) sauta dans la bataille, lui et son tempérament de feu. Ni une ni deux il a sauté au visage de l'homme mystérieux, qui c'était mis à éthernuer violement, ce qui permit au Roserade de comprendre ce qui lui arrivait et de coller une violente attaque Tempêteverte dans l'estomac de l'attaquant. Du coup la vielle dame c'est mis en tête qu'on avait sauvé son Pokémon et sa vie, et qu'on méritait une récompense à la hauteur de notre bravoure. Elle m'a par la suite séquestré chez elle le temps de me dire à quel point on était formidable et qu'on méritais son cadeau. Elle nous avait offert, à moi et mes Pokémon un ticket pour cette île là, Yokuba, qu'elle avait gagné à un concoure (Dont elle visait la seconde place pour obtenir les crèmes aux vertus anti-rides ).
C'était un allé simple, et, à vrai dire, même si j'aime pas l'avouer, j'en avait marre de Frimapic, donc j'avais décidé de m'en aller pour cette petite île aux allures tropicales.

Je posa ma tête sur la vitre de l'hydravion, constatant que c'était un enfant de 7 ans à côté de moi celui-ci faisait autant de bruit qu'un Brouhabam. Et convaincus que ce trajet durerai des jours, je m'endormis.

Je la tenais dans mes bras. Les battements de son cœur était mis à mal par le froids, hivernal. Je me souviens, elle me glissait dans la main cette PokéBall, tout en glissant ces dernières paroles dans mon oreille : " Je t'aime, prends bien soin d'elle." Puis elle retomba dans mes bras, respirant, respirant un peu moins, respirant a moitié, respirant un peu, ne respirant plus du tout ... Je me souviens aussi de ces yeux frigorifiés qui étaient les miens, incapable de verser quelque larme qu'il soit, comment en était-on arrivé là. Ma négligence devait-elle me l'arracher ?

C'était ma moitié, on devait avoir tout au plus 17 ans. Elle s'appelait Nora, je m'appelais Tristan. J'ai longtemps détesté mon prénom. Ce qui m'a amusé avec elle, c'est qu'elle le détestait aussi, "Triste" et "tant" c'était pour cela qu'elle le méprisait mon prénom, tout comme moi, elle m'appelait donc par mon nom. Quand elle m'a expliqué ça pour la première fois, c'est là que j'ai compris qu'elle était unique et qu'on devait vivre un bout de chemin ensemble. Elle avait un Togepi, moi un Balignon. Ils se sont toujours bien entendu, malgré leurs différences, son Pokémon était calme, serin. Le miens était foufou et agité du bocal. On passait des heures ensembles, comme ce jour là, où on avait parié avec Jason qu'on arriverait en haut de cette montagne, erreur fatale. Tout se passait bien, puis je l'ai perdue, le froids me l'a volé, le froids et cet homme, je me souviens plus réellement à quoi il ressemblait, mais il nous laissa avec deux Pokémon K.O. dans ce froids meurtrier ...

Je me réveilla quelque temps plus tard, en sueur, saisit par ce que mon mauvais rêve me réservait, perdre une nouvelle fois celle que j'aimais ... Puis je quitta le monstre métallique tout en m'allumant une clope, signant l'aube de la vie que je voulait nouvelle.