Une rencontre sur la plage [PV : Break]

En cherchant Oswald et mes souvenirs, je suis arriver sur une plage loin de la ville. J'ai pour l'occasion sortie Oz qui maintenant saute dans tout les sens pour s'amuser un max. Je sourit, il est si mignon ! Oz s'arreta et me sourit a son tour. Pendant que mon Laporeille s'amuse, je m'assie sur le sable. Le soleil est haut dans le ciel maintenant. Je sortie de ma poche plusieurs baie oran.
-Oz ! Viens manger un peu !
Il arriva a toute allure et manqua de me faire tomber. Je sortie Abyss car elle aussi a le droit de manger. Je partagea mes baies en trois paquets. Un pour Oz, un pour Abyss et un pour moi. On mangea avec appetit les baies puis mes deux Laporeilles s'allongerent et s'endormérent le ventre plein. Je resta eveiller a regarder la mer. C'est la premiere fois que je la voit. Je resta comme ça, perdu dans mes penser quand j'entendis un bruit innabituel qui me fit sursauter, je chercha l'origne de se bruit.

Le vent souffle
Comme le temps passe
Souffle le vent
Ne t'en fait pas
Souffle...

Un vent léger soufflait, agitant légèrement la pointe des arbres. C'était un début d'après midi plutot chaud pour la saison, et j'en avais profité pour sortir voir la mer. Cette dernière arborait une couleur exeptionnelle, dégradée de violets et de bleus étincelants. J'aimais contempler ce vaste plan d'eau qui s'étendait vers l'infini. Je soupirai. Le temps était trop parfait, et grace a mon don pour attirer les ennuis, ça n'allait surement pas durer. Gil agitait joyeusement les oreilles et gambadait à mes cotés. Je m'adossai à un tronc d'arbre qui avait été porté au gré de l'océan pour réfléchir, et sortit une thermos d'Earl Grey que je divisai en deux tasses de tailles inégales. Je donnai la plus petite à mon Tarsal, et sirotai mon thé lentement, avant d'extirper un de mes bouquins de mon sac. Je plongai immédiatement dans ma lecture, histoire de profiter le plus possible de cet agréable moment de solitude. La brise augmenta de puissance, et m'ébourriffa les cheveux. Je relevai la tête, troublé par une détonnation qui attira mon attention et me sortit de ma lecture. Le vent avait brisé la plus grosse branche d'un pin environnant la plage. Rien d'inquiétant à première vue, mais j'apperçus une silouette féminine à environ cinq mètres devant moi. Je n'étais donc plus seul avec Gil. Ce dernier sortit la tête d'un trou creusé par ses soins dans le sable, et se secoua, envoyant du sable partout autour de lui. Cette vision me fit sourire, et je rangeai mon livre. La jeune personne installée plus loin m'avait manifestement repéré, et elle s'avançai lentement vers moi. Elle avait dans les bras deux laporeilles apparement endormis.
Je n'avais absolument pas envie de voir quelqun aujourd'hui, mais une expression déterminée tronait sur son visage. Je poussai un long soupir, et hésitai à partir trouver un autre endroit. Mais le temps passait vite, et la jeune fille se rapprochait dangereusement.

(Désolée j'ai très peu écrit, no inspi ^^)

Le bruit que j'ai entendue est une branche d'un arbre qui tomba non loin de la plage. Je vit pres de moi, a quelque metres, du mouvement. Curieuse je m'approcha, determiner, pour savoir se que c'est. En m'approchant je vit un jeune homme qui doit avoir un ou deux en de plus que moi. Je m'approcha encore et je vit un Tarsal a coté de lui, ça doit etre son pokémon. J'en ai deja vue, des Tarsals dans la jungle mais il on un air different. Sa doit etre parce que celui la est apprivoisé. Je m'approcha encore, Oz et Abyss dans les bras. Soudain un eclair noir s'echappa de ma main gauche. Oz est reveiller ! Je comptais retourner a ma place ou même partir de la plage pour continuer de chercher mais mon Laporeille semble en avoir decider autrement. Il fonça vers le jeune homme a toute vitesse. Maintenant un autre eclair mais blanc jais cette fois de ma main droite. Abyss rejoignie Oz en trois grands bonds et ensemble ils fonçerent sur le jeune homme.
" C'est pas vrais..."
Je courut a leurs poursuite. Quand je reussie a rattraper les deux chenapan je fut a peine a trois pas du garçon. Je rentra Abyss dans sa pokéball et garda Oz qui se decida a rester sur mon epaule. Je put regarder de plus pres le garçon. Il a des cheveux noir comme un Cornebre. Ses cheveux lui cache une partie de son visage et son oeil gauche. Son oeil droit est bleu.
" Euh, bonjour. "

Pourquoi fallait il qu'une gamine vienne me déranger dans ma tranquilité. Pourquoi tous les moments que j'espérais de solitude étaient brisés.... Surement cette ligne nomée destin. La mer cessa d'être calme d'un coup sec. Une vague approchait, plus grosses que les précédentes, puis une autre, et ainsi de suite. L'océan arborait à présent une couleur grise sévère que ne ressemblait en rien aux doux et délicats dégradés de couleurs froides. C'est fou comme l'ambiance d'un endroir peut se transformer en quelques secondes. La fillette aux longs cheveux, ces derniers flottants derrière elle, laissa échapper maladroitement un de ses deux laporeilles. Je soupirai. Pourquoi certaines personnes s'obstinnent t-elles à dresser des pokémons à un age si jeune... la gamine ne devait pas avoir plus de onze ans, à première vue.

Elle ne sembla pas s'appercevoir du changement de couleur et de lumière de l'océan. On ne peut pas tout remarquer, après tout. Elle eut l'air désapointé par la fuite de son laporeille, le dénomé Oz, puis, relacha un peu son étrainte, et lacha le deuxième lapin, le blanc. Elle courut à la poursuite des deux fugitifs, et finit à ma grande surprise par les rattraper. Elle rentra le laporeille blanc, et posa l'autre sur son épaule, un peu essouflée. La gamine me fixait l'air interressé, à quelques pas de moi. Elle toisait plus particulièrement l'emplacement de mon oeil rouge. J'imagine qu'elle faisait partie des gens curieux. Elle devait se demander pourquoi ma pupille était couverte par mes cheveux, et tout le pataquès. Le genre de réaction que je déteste. Mais ce n'était pas le moment d'avoir des apprioris. Elle avait l'air naif, mais sincère et désolé.

"Euh, bonjour."

Elle devait se sentir gênée, j'imagine, et obligée d'engager une conversation quelquonque. A moins qu'elle soit venue car je l'intrigais. Je n'en ai aucune idée. Ce qui était sur, c'est qu'elle était là, et que maintenant qu'elle avait commencé à parler, je ne pouvais plus fuir, sauf en faisant preuve d'une impolitesse sans égards. Ce qui n'était pas mon but.

"Bonjour."

Simple, mais je ne ressentais pas le besoin de compliquer les choses. Ces choses qui ne l'étaient pas, compliquées, mais bref. J'allais devoir changer mon programe de la journée contre une disscussion avec une fillette maladroite. Bon, si les choses devaient se dérouler ainsi, après tout il y avait pire. Un souffle de vent souleva ma mèche, celle qui recouvrait mon oeil gauche. Et merde.... j'allais encore avoir droit à l'enfant maudit. Super.....

(Et encore désolée, j'ai pas mal de Rp aujourd'hui et je n'ai pas écrit grand chose)

Sujet: Re: Une rencontre sur la plage [PV : Break] Mar 1 Jan 2013 - 21:11

Le jeune homme me répondit calmement :
"Bonjour."
Je suis plutôt gêné d'être arrivé dans une telle situation. J'espère que je ne dérangea pas le garçon en arrivant ainsi. Oz semble bien apprécier la scène d'une jeune fille gené rencontrant un garçon. Je lui souffla dans le creux de l'oreille :
"Tu perd rien pour attendre Oz."
Il fit mine de ne rien entendre. Pour engager la conversation j'allais lui demandet pourquoi il a une partie du visage couvert par ses cheveux quand un souffle de vent fit voltiger ses cheveux et je pût voir son œil. Un œil rouge comme le sang. Pourtant je n'eu pas la réaction d'une personne normal. Une personne normal aurai eu peur de cet iris rouge et ce serai enfuit. Moi je resta sur place à fixé l'oeil. Le vent s'arrêta de souffler, laissant retomber les cheveux mais je continua d'observé l'emplacement de l'oeil. Un œil rouge... Ça me dit quelque chose mais je ne sais plus quoi. Est ce un de mes souvenirs ? J'espère. Oz eu l'air de ce demander pourquoi je ne réagissait plus et me sauta sur la tête pour me faire bouger. Dans un sursaut je revint dans le monde réel et je glissa au sol, gardant une position assise. Je fis descendre le Laporeille noir jais et le pris dans mes bras. Je le caressa d'un air songeur. Pourquoi j'ai l'impression d'avoir déjà vue un œil rouge avant ? Je n'arrive pas à me rappeller. Oz commença à s'agiter. Pour qu'il ce calme je ne lui dit qu'un mot.
"Souvenir."
Il comprit immédiatement à quoi je fait allusion et ce calma. J'ai besoin de calme et de caresser Oz pour réfléchir à ce sujet. J'avais complètement oublié qu'il y a un garçon devant moi. C'est seulement quand j'entendis un bruit devant moi que je me rappela que je ne suis pas seule. Il faut que j'arrête de penser à ça. J'y réfléchirai plus tard. Pourtant cet œil me tourmente, je ne sais pas pourquoi. En tous cas je suis très contente. Même si ce n'est presque rien, j'ai récupérer mon premier souvenir. Je continua de regarder dans le vide, oubliant encore une fois la présence du jeune homme.

Vent, après midi... Je m'ennuie, oh, oui, ce que je m'ennuie. Rencontre en perspective. Pourquoi cette gamine n'avait pas peur. Mes cotés atypiques ressortaient tellement. Elle aurait du fuir. À moins que ce ne soit un tour de cette foutue chose nommée "destin". Oui, sûrement. La destinée a décidé de frapper à nouveau. Et pour changer, je n'y peux rien. Décidément, la fillette ne remarquait aucun changement dans la mer. Si belle, agitée, tons en parfait accord avec le ciel chargé. Comment est-ce possible de ne pas voir. De ne rien voir. À ce point! La cécité atteignait-elle les enfants? Ah, cruelle, cruelle destinée.

Il n'empêche que cette gamine, donc, ne me donnait pas l'impression d'être aveugle. Sûrement que, la beauté, une beauté telle, seules quelques personnes peuvent la contempler. C'est tellement dommage. Il faut ouvrir les yeux du monde. Ôter toute la merde qui lui obstrue le champ de vision. Voir le monde comme il est. Voila ce que font la majorité des gens. C'est peut-être la meilleure solution, après tout. Je ne suis pas idéaliste. Ni philosophe. Mais qui sont les philosophes, après tout, hein. Le nom des choses. Quelle importance, après tout.

Si en créant l’objet à quatre pieds nommé « chaise », l’homme avait décidé de l’appeler, je ne sais pas, moi, « Boulouck », et bien cet objet à quatre pieds s’appellerait tout autrement. La langue n’a aucune logique. Pourtant elle nous est indispensable. Paradoxe étonnant. Tant de paradoxes pour tant de choses. Et si le mot paradoxe s’était appelé autrement. Il faudra un jour que j’apprenne à stopper le flux de mes pensées. Je passe de la couleur des vagues au paradoxe des mots. Flippant. Je dois la regarder. Oui, je viens de me souvenir qu’elle est là, qu’elle me fixe. Qu’elle vient de rattraper un des laporeilles, et de lui murmurer « souvenir » à l’oreille. Il y a des gens étranges. Et elle lève la tête. Je perçois l’intensité de son regard. Et pour une raison que j’ignore, je ne suis pas indifférent à ses prunelles.

Intensité du feu, foyer allumé en permanence, mais… Une chose me trouve. Malgré la force de ce regard mauve. Là. Un vide, immense. Comme si elle était présente et absente en même temps. Comme si il lui manquait quelque chose auquel elle tenait énormément. Souvenir ?
C’est à peine possible. Aucun souvenir, vraiment ? Non, vraiment, c’est improbable. Plausible, mais improbable. Et puis après tout, je verrai. Il faut que je dise quelque chose. Mais là, dans mon esprit ? Rien. Nada. Page blanche. Tant pis, je vais laisser le temps s’écouler, goutte par goutte. N’est ce pas ce que je fais la plus grande partie du temps ?