Une forêt très sombre... Ou pas ? [PV : Vulpes et Bleack]

Azur, un petit Mew shiney, était donc arrivé sur cette île qui paraissait très fertile, et avait atterrit après un combat acharné contre le vent sous la forme d'un Lugia. Il avait atterrit dans une plaine, avait fait quelques rencontres anodines, et avait fini par rencontrer un Lucario étrange, mais généreux et gentil. Cette rencontre comptait beaucoup pour Azur, qui avait absolument besoin d'un protecteur...
Puis il s'était éloigné, se jurant de retrouver le Lucario à un moment ou un autre. Car Azur ne supportait pas de perdre un compagnon de jeu. Azur n'avait pas la notion de "Bien" et de "Mal". Pour lui, tout le monde était gentil, et la vie se résumait à jouer, manger, dormir, rire. Évidemment, le petit Mew shiney se trompait...
Donc, Azur, prit par la curiosité, s'était éloigné du Lucario et était rentré dans la forêt. Qui semblait belle et ensoleillée au début mais qui finit par devenir sombre et inquiétante...
Mais Azur avait toujours aimé les forêts. C'est dans ce milieu qu'il avait grandi. Alors, il n'avait pas réfléchi, même pas à la perspective de se perdre... Sa faculté de changer d'apparence le sauverait.
Azur avait pris la forme d'un Macronium. Ce qui était bien utile, car ce Pokémon avait la réputation de calmer les pulsions agressives avec l'odeur de son collier de feuilles. Azur galopait, insouciant, mais son enthousiasme finit par diminuer, en découvrant peu à peu le côté obscur de la forêt. Azur demanda plusieurs fois son chemin à d'autres Pokémons, mais le fait qu'il ne savait pas bien parler étant bébé l'handicapa et personne ne le comprit. Alors Azur avait reprit sa course folle, pendant quelques minutes. Il s'épuisa vite et se retrouva dans une clairière, qui était un peu moins sombre tout de même. Les nerfs à bout, le petit Mew shiney explosa :

Veut sortir ! Veut sortir ! Pourquoi toi pas me laisser sortir ?! Méchante forêt !

Seul l'écho de ses propres paroles lui répondit, qui ensuite se perdit au loin. Azur avaient les yeux qui brillaient de larmes, et son front devint emperlé de sueur. L'idée de ne plus pouvoir sortir l'effrayait plus que tout, le petit Mew tremblait de tous ses membres. Il prit l'apparence d'un petit Skitty, et se roula en boule sur la terre. Elle était dure, et marron foncée. Azur ferma les yeux, se demandant pourquoi il était donc entré dans cette forêt. Cela ne l'enchantait plus beaucoup, maintenant. Et la canopée était épaisse, haute, et paraissait impénétrable. L'idée de sortir en volant était donc proscrite... Qu'allait faire Azur ? Il ne pouvait pas toujours compter sur une âme charitable...

HS : Désolée, je fais très court car je dois aller dormir.

La fin de journée approchait. C'est le moment où, chaque jour, Vulpes regarde le ciel du haut de la falaise donnant sur l'océan, c'est le moment où il ressent son cœur battre plus fort, à des rythmes différents chaque jours, parfois lent et calme, parfois rapide et saccadé. Il essayait chaque fois d'y mettre des notes, d'y attribuer à son en soufflant dans son bambou, sans jamais y parvenir correctement. Aujourd'hui donc, il réitère l'expérience en changeant de cadre: la falaise est remplacée par de grand arbres sombres, la mer par un océan d'herbe verte, le scintillement de l'eau par les Mucioles et Lumivoles virevoltants, et le soleil roux du crépuscule demeure.
C'est ainsi, à la limite d'une clairière, que Vulpes descend de son dos son bambou, puis écoute attentivement les bruits, d'abord internes: le battement de son cœur, la flamme qui crépite au fond de sa gorge, sa respiration haletante, le vent qui caresse ses poils. Il approche le bambou de son museau, puis ouvre ses oreilles aux sons extérieurs: un Roucool qui caresse les plumes de sa compagne, le bourdonnement des Apitrinis qui terminent leur journée de labeur, les arbres qui murmurent des poèmes au soleil,...
Il s’apprête, inspiré, enfin, à lancer son premier souffle dans le bambou.
Puis un cri violent, lancé par une voix enfantine, lui envoi un sursaut violent de surprise:

Veut sortir ! Veut sortir ! Pourquoi toi pas me laisser sortir ?! Méchante forêt !

À la fois amusé et touché à la vue du petit pokémon apparemment pas vieux, et furieux d'avoir été coupé dans son élan, Vulpes réfléchi et se dit que, plus vite aidé, plus vite parti, et plus vite le calme reviendrait. Il parti donc en direction de la boule bleue dont, de sa position, il ne distinguait que peu les formes. Très vite, il prit conscience que c'était un petit Skitty. Toute fureur refoulée, il s'approcha plus vite, ses huit queue battant le vent. Le petit d'abord roulé en boule se releva à ce son, arrêta ses larmes et sembla finalement amusé par le mouvement de va-et-vient des huit queues, semblable à des plumes roussie.

*Rien de plus normal, se dit Vulpes, la nature candide du petit reprend le dessus sur la peur*

Il dit alors d'un ton amusé, avec un sourire en coin:

"Et bien boule de poils, tu parle à la forêt? Il y a plus rapide pour trouver ton chemin!"

Qu'est-ce qui transparaissait sur le visage du Skitty? De la peur? De l'admiration? De l'espièglerie? De la colère? Le jeune renard n'aurait su le dire...

Un dracaufeu avait des ailes et ce n’était pas juste pour faire jolie. En général Bleack passé beaucoup de temps en vole mais il lui arrivait de se posé a un endroit calme afin de marché ou tout simplement être allongé sans bouger. C’était d’ailleurs se qu’il voulait faire. Il c’était posé dans une clairière afin d’être au calme dans la foret. L’endroit grouillait de pokemon planta et insecte et plus encore mais c’était tout à fait naturelle. Il c’était positionné sur un rocher au soleil avant de se perdre dans ces pensées. Comment peut on aimait être sous les ordres d’un humain alors qu’en retour on a juste le droit a des :
-Tu es vraiment nulle !
-J’aurait mieux fait de t’abandonné.
Et bien d’autre encore. C’était ce genre de phrase que Bleack avait souvent entendu avant d’atterrir sur cette île. Il ne regretté pas son passé, du moins il ne regretté pas de l’avoir quitté même si il aurait aimé revoir sa mère une dernière fois.

Un cri ou plutôt un appel le fit sortir de ces pensées. L’appel était fort mais l’intonation semblait indiquée que celui ou celle qui a poussé son cri était encore jeune. Surement un enfant. Bleack se leva alors afin d’allait voir se qu’il ce passé bien qu’il se doutait déjà du problème vue la demande formulé. Le jeune pokemon devait être perdu. C’est vrai que cette foret est immense. Après quelques minutes il arriva en vue d’un jeune Skyti d’une couleur inhabituel. Avec lui se trouvait un goupix. Sur le coup Bleack ne savait pas trop qui avait crier squr la foret mais en regardant bien il comprit que c’était le Skytti vue que celui-ci était en boule sur lui-même et semblait presque apeuré. Bleack parla calmement et doucement pour ne pas risquer de les effrayer ou de prendre un air menaçant.

-he bien… Vous vous êtes perdu dans la foret ? Et vous êtes tout seul ?

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